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Pour une généalogie de vos ancêtres veuillez consulter mon autre site - Pjila'tigw angam a'sei Geitoq Nemijgami' tami wetagutmu'ti'gw
L'auteur du site Mi'kma'ki
Mi'kma'ki igtug etloqteg
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Etlitoq:
Jean Claude «Sa'n» Be'liveau |
Auteur: Jean Claude «Sa'n»
Béliveau |
Un Indien qui navigue sur Internet plutôt que sur une rivière
ou un littoral
a tout simplement une autre façon de voyager.
Ms'it st'ge gisgug Mi’maq awna nisisugwi ala sipu awna
siawa'tueg intelnet elugwetueg.
J'ai humblement collaboré à quelques ouvrages et ...
mes efforts ont porté fruits !!!
Merci à tous et toutes :)
Welalin Msit :)
Auteur: Éric Plamondon
Les Éditions Livres de Poche https://www.livredepoche.com/livre/taqawan-9782253258278
Quidam Éditeur http://www.quidamediteur.com/catalogue/voix-d-amerique/taqawan
Collaborations:
Jean-Claude-Sa'n Béliveau / Dictons, phrases et recette tirées du site « Mi'kma'ki » http://www.astrosante.com/mikmawisimk.html
Alanis Obomsawin / du documentaire « Les événements de Restigouche » https://www.onf.ca/film/evenements_de_restigouche/
Danielle Cyr et Marie-Bernard Young / orthographe mi'kmaw
Earle Lockerby / de l'article « Ancient Mi'kmaq Customs; A Chaman Revelations» (The Canadian Journal of Native Studies, vol. XXIV, no 2, 2004)
René Levesque / extrait de la conférence de presse du 25 juin 1981.
Distinctions
TAQAWAN à la sélection 2019 pour le prix des Lecteurs Quais du Polar, en partenariat avec 20 Minutes
( https://www.bepolar.fr/La-selection-2019-du-prix-des-Lecteurs-des-Quais-du-Polar )
TAQAWAN dans la sélection du Prix littéraire des lycéens et apprentis de la région Auvergne-Rhône-Alpes 2018-2019
( https://auvergnerhonealpes-auteurs.org/selection-2018-2019/ )
TAQAWAN dans la sélection du Prix des lecteurs de Quai du Polar 2019
( https://www.quaisdupolar.com/appel-a-jury/ )
TAQAWAN dans la sélection du Prix Mauves en Noir 2019
( http://bibliotheque.sautron.fr/page/prix-polar-de-mauves-sur-loire-2019?readmore )
TAQAWAN dans la 1ère sélection du Prix Libr’à Nous 2019
( https://addict-culture.com/libra-nous-2019-1ere-selection/ )
Eric Plamondon lauréat du Prix France-Québec 2018 pour TAQAWAN
( http://francequebec.fr/prix-litteraire/ )
Eric Plamondon lauréat du Prix des Chroniqueurs Toulouse Polars du Sud pour TAQAWAN
( https://blog.toulouse-polars-du-sud.com/tag/prix/ )
Prix Louis Guillou 2018, TAQAWAN parmi les 10 ouvrages en lice.
( https://www.actualitte.com/article/culture-arts-lettres/10-auteurs-en-lice-pour-le-prix-louis-guilloux-2018/88593 )
TAQAWAN lauréat du prix Frye Académie 2018.
( https://revue.leslibraires.ca/actualites/les-prix-litteraires/un-prix-pour-taqawan )
Prix des Libraires France 2018, TAQAWAN dans la 1ère sélection.
( https://revue.leslibraires.ca/actualites/les-prix-litteraires/les-livres-en-lice-pour-le-prix-france-quebec-2018 )
Prix Ouest France Étonnants Voyageurs 2018, TAQAWAN dans la 1ère sélection.
( https://www.livreshebdo.fr/prix-litteraires/tous-les-prix/prix-ouest-france-etonnants-voyageurs )
Auteur: Éric Plamondon
Les Éditions Le Quartanier https://www.lequartanier.com/catalogue/ristigouche.htm
Le dicton ci-dessous est mon humble collaboration au roman "Ristigouche" (page 8) de l'auteur Éric Plamondon, Éditions Le Quartanier, 2013...
Apoqonmaq Éric Plamondon aq na wi'gatign "Ristigouche" (nipi 8) ignmuetu saqawiglisuiaqan, Éditions Le Quartanier, 2013...
Ta'n
wen megtaq na piltue'gl goqwe'l tel'ta'sit aq ala'sit ms't tami
st'ge'gmu'j ala'lugweg samqwanigtug.
Le doute est comme une vague dans la mer, transformée et poussée
par le vent.
(Nesutmalsewu'ti Jean-Claude-Sa'n Béliveau ewi'g'mn / Traduction de Jean-Claude-Sa'n Béliveau)
Livre pour enfants (5
- 6
ans)
COLLECTIF:
- Illustrations: Julie Camel
- Motifs: Charlotte Segond-Robilloud
- Éditions Play Back
Avec la collaboration de
J-L Boroust, G. Burrus, C, Fleury,
M. Girard, L. Maj, C. Malézieux, K. Marigliano,
N. Michelotto, C. Moubinous pour Fujiyama,
C. Onnen, M. Seger, V. Sem. N. Tran,
M-F. Wolfsperger.
Traduction du français au mi'kmaw: Sa'n Be'liveau
Des
silhouettes mises en scène dans des décors et des situations
typiques des
Indiens d'Amérique, à habiller avec des autocollants.
Chaque dessin est accompagné d'une réplique en français et
en langue mi'kmaq.
Édité en 2014 et ré-édité en 2018.
Remarque
:
Le personnage principal porte le prénom «Aponi» qui tient
ses origines des nations amérindiennes Niitsítapi (Blackfoot) de
l'Alberta, Canada et Niitsítapi (Blackfeet) du Montana (USA).
« Aponi » vient du mot « apaniiwa » qui signifie « papillon ».
De nombreux orateurs Niitsítapi laissent
tomber le «wa» et
utilisent simplement Apani ou Aponi.
Livre
pour enfants (5 - 6 ans)
Scénario: Nicole Bélanger
Illustrations: Julie Miville
Éditions des Intouchables
Avec la collaboration de
Sa'n Claude Béliveau
Roman jeunesse
Auteur: Clément Fortin
Illustratrice: Camille Girard-Bock
Auto-édité
Collaboration: Sa'n Claude Béliveau
Roman jeunesse
Auteur: Richard Alarie
Les Éditions de la Francophonie
Collaboration: Sa'n Claude Béliveau
En seconde impression en 2014 !
Je suis un passionné de généalogie, partculièrement de généalogie autochtone
C'est en qualité de recherchiste en généalogie autochone que j'offre mes services afin de trouver un ancêtre Autochtone dans votre généalogie ascendante.
Mes recherches couvrent la période de la colonisation de la Nouvelle-France jusqu'à nos jours (avant 1940).
Je me plais à présenter des conférences...
D'une durée
de 1h45 ma première conférence a été un succès.
La salle Cosmos était pleine.
De nombreuses personnes ont posé des questions.
Plusieurs sont resté après pour me faire la conversation.
J'ai répéter l'expérience en 2017
Ce fut aussi une exérience très gratifiante
Merci à tous et à toutes / Welalin Msit
Mes ancêtres
Ni'n Sakawajkik
Mes liens familiaux
mi'kmaq sont principalement de la région
de Pitu'pa'q (Bras d'Or lakes). J'en ai aussi en
Nouvelle-Écosse, au
Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve et au Québec.
L'un de mes nombreux ancêtres Autochtone est nul autre
que le Grand Sagamos Mawpilu
(Kji-saqmaw
Maoi'napeltu) baptisé Henry Membertou le 24 juin 1610.
Ce nom est dérivé
du terme Maoinapeltu,
signifiant «chef de
tout»
ou «chef principal»
lui a été donné par les
Français
car il
était le Chef des territoires allant de Ste.
Croix jusqu'à la vallée de la rivière
Saint-Jean,
près de l'actuelle frontière
du Maine USA et
du Nouveau-Brunswick
au Canada.
Mon
arbre
généalogique indique un lien ancestral avec celui-ci
de par ma généalogie paternel,
de par la lignée paternelle et maternelle de la mère de mon
père,
de par la lignée paternelle et maternelle la grand-mère de mon
père
et de par la lignée paternelle et maternelle de l'arrière
grand-mère de mon
père.
(Timbre émis à Poste Canada en 2007.
Concepteur: Réjean Myette de la maison montréalaise
Fugazi)
J'ai aussi comme ancêtre Jean Nicolet...
(Jean Nicolet débarquant
à la Baie des Puants par Franz Rohrbeck (1852-1919), 1910)
Malgré
ma lignée
ancestrale majoritairement blanche du côté de ma mère, j'ai une
ancêtre
Anishinaabe Nipissing
bien connue dans l'histoire du Canada. Celle-ci se maria avec
nul autre que Jean
Nicolet Sieur de Belleborne,
suivant les seuls rites des « Pays d'en haut », en
l'absence de prêtre
missionnaire catholique.
Leur enfant dont je suis le desecendant fut nommée Madeleine
dite Euphrosine
Nicolet.
Elle se maria avec Jean Leblanc
le 21 novembre 1643 à Notre-Dame de Québec.
Ni'n
giju'
wapeg e'pitewit . Ge'itmg ta'n tliatew tan Kanata agnutmaqann.
Nesagudum
Anishinaabe Nipissing.
Tqonasu'g Jean Nicolet Sieur de Belleborne aq Anishinaabe
Nipissing Ikwe
(E'pit).
Segewei Madeleine dite Euphrosine Nicolet tewitpaqatg
Notre-Dame Québec
Keptekewiku's 21 1643.
Les Français ont amené relativement peu de leurs femmes en
Amérique du Nord
durant les premières années, ainsi l'inter mariage
entre le Français et
le Mi’kmaq est devenu chose commune. La plupart des
Mi’kmaq d’aujourd’hui, dont les noms de famille sont
français, sont les descendants de ceux-ci.
Malgré
notre nom de famille français l'analyse
du
mtADN (maternel) et du yADN (paternel) familial
démontre
que nous sommes
du Haplogroupe A et du Haplogroupe
C3b.
L'ADNmt des
premiers occupants (Indiens, Inuit) du continant américain
permet
d'identifier chez eux cinq haplogroupes distincts, A, B, C,
D et X , et ceux du
chromosome Y, quatre autres haplogroupes distincts, Q, Cy, P
et R1a1.
Type A - Réparti sur
l'ensemble du continent américain, il est constitutif du
génome des
populations amérindiennes issues des dernières migrations
mongoloïdes,
empruntant le detroit de Bering vers la dernière glaciation
de Würm. Ce
marqueur génétique est commun aux populations d'Asie
centrale.
Type B - Localisé
uniquement le long de la frange côtière de l'océan
Pacifique. Il est présent
sur la côte occidentale de l'Amérique du Sud, la côte
sud-ouest de l'Amérique
du Nord ainsi que dans la majeure partie de l'Amérique
centrale. Ce marqueur génétique
indiquerait une origine du sud-est asiatique, australoïde ou
pacifique.
Type C - Localisé
exclusivement au sud de l'Amérique du Sud. Cet haplotype C
suggérerait une
hypothétique migration très ancienne, provenant d'Asie
centrale pendant le
Pléistocène et ayant migré par l'Asie du Sud-Est avant de
passer en Amérique,
par le pont terrestre de la Béringie, dès le début de la
dernière glaciation
de Würm, vers 75 000 ans.
Type D - Localisé également
au sud de l'Amérique du Sud mais également dans l'ensemble
du bassin
amazonien. Ce marqueur est absent en Amérique centrale ainsi
qu'en Amérique du
Nord... sauf chez les Inuits dans l'extrême nord de
l'Amérique du Nord.
Type X - Les
spécialistes Brun, Hosseini, Allen, Schurr et Wallace du
Centre de médecine
moléculaire de l'Université de Médecine d'Emory, Atlanta,
U.S.A. ; ainsi que
les professeurs Torroni, Scozzari, Cruciani du Département
de génétique et de
biologie moléculaire de l'Université La Sapienza de
Rome ; et le
professeur et mathématicien Bandelt, maître de conférences à
l'Université
de Hambourg (Allemagne), ont proposé qu'un cinquième
haplogroupe d'ADNmt
(haplotype X) soit représenté parmi les lignées fondatrices
des populations
d'Amérique.
Parmi les Amérindiens, l'haplogroupe X semble être
essentiellement limité aux
groupes nordiques d'Amérindiens, y compris les Ojibwé,
Dakota. Navajos, et
d'autres groupes amérindiens Na-Déné d'Amérique du Nord. À
la différence
des autres haplogroupes, l'halogroupe X est à la fois
présent en Amérique et
chez les populations européennes modernes.
L'origine du nom Béliveau
Souvent le nom d'une famille était inspirer de la région,
du travail ou de
l'apparance.
Selon N-E Dionne LL., D., M.D. professeur d'archéolohie de
l'université Laval
ce nom pourrait venir de «Balliveau»
commune de département de Haute-Savoie, arr. de
Thonon.
Selon certains, le patronyme pourrait venir du mot
«baliveau», ce petit arbre que l'on garde pour
assurer la reproduction de la forêt.
Selon «Les Canadiens-Français - Origines des familles» -
Librairie Granger de
Montréal et Librairie Garneau de Québec / 1914
Tiré de «Les Canadiens-Français - Origines des familles»
-
Librairie Granger de
Montréal et Librairie Garneau de Québec / 1914
On retrouve aussi la même signification de Bailliveau et de Baliveau dans le
Dictionnaire François et Latin paru en 1732...
(Tiré de : Dictionnaire universel françois et latin - Tome 1 -
J-F Giffart, rue S. Jacques à Sainte Thérèfe - 1732)
Disponible sur ce site en utilisant le Troc
(Tiré de : Dictionnaire universel françois
et latin - Tome 3 - J-F Giffart, rue S. Jacques à Sainte Thérèfe
- 1732)
Certains
peuvent croire que parce que les Autochtones portent des noms de
familles d'origines française ou anglaise ils ont par le fait même des
ancêtres européains.
Ce n'est pas le cas. La plupart se
sont vu obligés à choisir un nom de famille "approuvé".
1857
- La loi «The
Gradual Civilization Acte» exige des Indiens et Métis de sexe masculin
âgés de plus de 21 ans qu'ils sachent lire, écrire et parler l'anglais ou
le français
et les oblige à choisir un nom de famille approuvé par lequel ils
serait légalement reconnus.
À l'attention de Joëlle Papillon, Université McMaster, auteure de l'article - érudit - Arborescense, No 11, déc. 2021.
Selon son article, Papillon semble se baser que sur une source.
PAPILLON parle de moi!!!
Il vaut mieux qu'on parle de moi en mal que pas dutout ...surtout en prenant la peine de mentionner les adresses de mes deux sites Web. L0L
Joëlle Papillon est professeure adjointe à l'Université McMaster où elle enseigne les littératures autochtones, franco-canadiennes et québécoises.
Mais JOELLE PAPILLON base son opinion sur une seule référence, celle de "Distorted Descent" d'un professeur de l'Université de l'Alberta.
Comment peut-on affirmer quelque chose en ayant qu'une source?
Aurait-elle réussi sa maîtrise en littérature autochtone et autre se basant que sur une seule source pour chacune de ses recherches?
Pourtant elle aurait pu consulter le rapport du gouvernement fédéral "Les populations métis des provinces et territoires".
Pourtant elle aurait pu consulter les écrits du professeur Stephane Mallette de l'Université de Carleton qui dit le contraire du prof de l'Alberta.
Suffisamment bolée pour écrire un papier chez "érudit", PAPILLON devrait savoir que "Premières Nations" est un terme adopté en 1982 pour identifier exclusivement les communautés autochtones statuées (dont je ne prétend pas être).
Papillon utilise comme preuve que je ne serais pas Autochtone que parc que, selon ses mots, j'utiliserais des "stratégie douteuses" en faisant de la généalogie pour trouver des racines autochtones
Ben oui! Un/une "statué"/"statuée" ne peut appartenir qu'à une nation même si ses parents sont de deux.
Mais ce n'est pas le cas des non-statués/non-statuées.
D'où PAPILLON tient-elle sa maîtrise?
J'ai plus de sang autochtone dans les veines qu'en avait feu Max Groslouis ou qu'en a Conrad Sioui.
Le généalogie de de Max Groslouis indique que le dernier couple de Huron/Huronne date d'il y a 9 générations, il est Huron par une seule lignée "masculine".
J'ai plusieurs lignées d'ascendances "mixtes" qui ne permettent pas la transmission du statut depuis la loi de 1906.
PAPILLON ne semble pas savoir que cette loi de 1906 ne permettait pas la transmission du statut par les femme, ce qui a multiplié les Métis et Indiens-non-inscrits/Indiennes-non-inscrites.
Bien sûre, elle a un maîtrise en littérature autochtone et franco-canadienne, pas en droit!
PAPILLON devrait élargir ses connaissances et peut-être ajouter une maîtrise en loi discriminatoires, loi qu'elle semble totalement ignorer...
https://publications.gc.ca/Collection-R/LoPBdP/BP/bp175-f.htm
Possédant une belle plume et sachant manipuler les écrits PAPILLON serait pourtant bien placée pour défendre les intérêts des femmes Autochtones et de leur descendants/descendantes qui sont privés du droit au statut et à sa transmission depuis la loi de 1906.
Elle dvra cependant utiliser plus d'une source, ce qui peut lui être difficile si j'en crois son papier.