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Pour une généalogie de vos ancêtres veuillez consulter mon autre site - Pjila'tigw angam a'sei Geitoq Nemijgami' tami wetagutmu'ti'gw

 

 






L'auteur du site Mi'kma'ki
Mi'kma'ki igtug etloqteg

 




 

  

 

 

Etlitoq:  Jean Claude «Sa'n» Be'liveau

Ni'n na aqadagutkik 'Nnu aq gesite'tm.

A
jipugwennm pesqunatek Newtiska'q jel ta'pu
Mi'kmaq aq Waban-Aki aq Anishinaabe Nipissing.
Ta'n wenig na'tuen genealogists wegu'mk mnaq 
ne'w na tle'ia.
Jel Wenuj, Aqalasie'w aq gi'nujin.

Etlewistu nnug, aqalasie'w aq l'nu.

Na atlasmu'tegei lugowinu aq l'taliagas amgwes.

Gesatm l'nu'wi'si aq l'nu glusuaqann sa'qawei aq 
gloqowejg gina'masuti.



Auteur:  Jean Claude «Sa'n» Béliveau

Je suis un biracial, un sang-mêlé, Autochtone urbain, un Indien non inscrit né hors réserve et j'en suis fier.

Mes origines sont par cousinage de plusieurs branches autochtones provenant des mêmes ancêtres Mi'kmaq, Innu, Anishinaabe et Algonkin Nipissing.

Mes origines sont aussi Françaises et Anglaises et j'en suis fier.


Je m'exprime en français, anglais et mi'kmaq.

Je suis retraité et actif.

Je suis un passionné de la langue mi'maq, de livres anciens 
concernant les Indiens, et aussi d'Astrologie ancienne. 



   




Un Indien qui navigue sur Internet plutôt que sur une rivière ou un littoral 
 a tout simplement une autre façon de voyager.  


Ms'it st'ge gisgug Mi’maq awna nisisugwi ala sipu awna siawa'tueg intelnet elugwetueg.







J'ai humblement collaboré à quelques ouvrages et ...
mes efforts ont porté fruits !!!
Merci à tous et toutes :)
Welalin Msit :)










Auteur: Éric Plamondon
Les Éditions Livres de Poche https://www.livredepoche.com/livre/taqawan-9782253258278
Quidam Éditeur http://www.quidamediteur.com/catalogue/voix-d-amerique/taqawan

Collaborations:
Jean-Claude-Sa'n Béliveau / Dictons, phrases et recette tirées du site « Mi'kma'ki » http://www.astrosante.com/mikmawisimk.html
Alanis Obomsawin / du documentaire « Les événements de Restigouche » https://www.onf.ca/film/evenements_de_restigouche/
Danielle Cyr et Marie-Bernard Young / orthographe mi'kmaw
Earle Lockerby / de l'article « Ancient Mi'kmaq Customs; A Chaman Revelations» (The Canadian Journal of Native Studies, vol. XXIV, no 2, 2004)
René Levesque / extrait de la conférence de presse du 25 juin 1981.


Distinctions

TAQAWAN à la sélection 2019 pour le prix des Lecteurs Quais du Polar, en partenariat avec 20 Minutes
( https://www.bepolar.fr/La-selection-2019-du-prix-des-Lecteurs-des-Quais-du-Polar )
TAQAWAN
dans la sélection du Prix littéraire des lycéens et apprentis de la région Auvergne-Rhône-Alpes 2018-2019
( https://auvergnerhonealpes-auteurs.org/selection-2018-2019/ )
TAQAWAN dans la sélection du Prix des lecteurs de Quai du Polar 2019
( https://www.quaisdupolar.com/appel-a-jury/ )
TAQAWAN dans la sélection du Prix Mauves en Noir 2019
( http://bibliotheque.sautron.fr/page/prix-polar-de-mauves-sur-loire-2019?readmore )
TAQAWAN dans la 1ère sélection du Prix Libr’à Nous 2019
( https://addict-culture.com/libra-nous-2019-1ere-selection/ )
Eric Plamondon lauréat du Prix France-Québec 2018 pour TAQAWAN
( http://francequebec.fr/prix-litteraire/ )
Eric Plamondon lauréat du Prix des Chroniqueurs Toulouse Polars du Sud pour TAQAWAN
( https://blog.toulouse-polars-du-sud.com/tag/prix/ )
Prix Louis Guillou 2018, TAQAWAN parmi les 10 ouvrages en lice.
( https://www.actualitte.com/article/culture-arts-lettres/10-auteurs-en-lice-pour-le-prix-louis-guilloux-2018/88593 )
TAQAWAN lauréat du prix Frye Académie 2018.
( https://revue.leslibraires.ca/actualites/les-prix-litteraires/un-prix-pour-taqawan )
Prix des Libraires France 2018, TAQAWAN dans la 1ère sélection.
( https://revue.leslibraires.ca/actualites/les-prix-litteraires/les-livres-en-lice-pour-le-prix-france-quebec-2018 )
Prix Ouest France Étonnants Voyageurs 2018, TAQAWAN dans la 1ère sélection.
( https://www.livreshebdo.fr/prix-litteraires/tous-les-prix/prix-ouest-france-etonnants-voyageurs )










Auteur: Éric Plamondon
Les Éditions Le Quartanier https://www.lequartanier.com/catalogue/ristigouche.htm

Le dicton ci-dessous est mon humble collaboration au roman "Ristigouche" (page 8) de l'auteur Éric Plamondon, Éditions Le Quartanier, 2013...
Apoqonmaq Éric Plamondon aq na wi'gatign "Ristigouche" (nipi 8) ignmuetu saqawiglisuiaqan, Éditions Le Quartanier, 2013...

Ta'n wen megtaq na piltue'gl goqwe'l tel'ta'sit aq ala'sit ms't tami
 st'ge'gmu'j ala'lugweg samqwanigtug.

Le doute est comme une vague dans la mer, transformée et poussée par le vent.


(Nesutmalsewu'ti Jean-Claude-Sa'n Béliveau ewi'g'mn / Traduction de Jean-Claude-Sa'n Béliveau)










Livre pour enfants (5 - 6 ans)



COLLECTIF:
- Illustrations: Julie Camel
- Motifs: Charlotte Segond-Robilloud
- Éditions Play Back 
Avec la collaboration de
J-L Boroust, G. Burrus, C, Fleury, 
M. Girard, L. Maj, C. Malézieux, K. Marigliano, 
N. Michelotto, C. Moubinous pour Fujiyama, 
C. Onnen, M. Seger, V. Sem. N. Tran, 
M-F. Wolfsperger.
Traduction du français au mi'kmaw: Sa'n Be'liveau

Des silhouettes mises en scène dans des décors et des situations typiques des Indiens d'Amérique, à habiller avec des autocollants. 
Chaque dessin est accompagné d'une réplique en français et en langue mi'kmaq.

Édité en 2014 et ré-édité en 2018.

Remarque :
Le personnage principal porte le prénom «Aponi» qui tient ses origines des nations amérindiennes Niitsítapi (Blackfoot) de l'Alberta, Canada et Niitsítapi (Blackfeet) du Montana (USA).
« Aponi » vient du mot « apaniiwa » qui signifie « papillon ». 
De nombreux orateurs Niitsítapi laissent tomber le «wa» et utilisent simplement Apani ou Aponi.  



Livre pour enfants (5 - 6 ans)



Scénario: Nicole Bélanger
Illustrations: Julie Miville
Éditions des Intouchables
Avec la collaboration de 
Sa'n Claude Béliveau





Roman jeunesse


Auteur: Clément Fortin
Illustratrice: Camille Girard-Bock
Auto-édité
Collaboration: Sa'n Claude Béliveau



Roman jeunesse


Auteur: Richard Alarie
Les Éditions de la Francophonie
Collaboration: Sa'n Claude Béliveau

En seconde impression en 2014 !






Je suis un passionné de généalogie, partculièrement de généalogie autochtone

C'est en qualité de recherchiste en généalogie autochone que j'offre mes services afin de trouver un ancêtre Autochtone dans votre généalogie ascendante.
Mes recherches couvrent la période de la colonisation de la Nouvelle-France jusqu'à nos jours (avant 1940).

Lisez mon offre





Je me plais à présenter des conférences...

D'une durée de 1h45 ma première conférence a été un succès.
La salle Cosmos était pleine.
De nombreuses personnes ont posé des questions.
Plusieurs sont resté après pour me faire la conversation.

J'ai répéter l'expérience en 2017
Ce fut aussi une exérience très gratifiante
Merci à tous et à toutes / Welalin Msit













Mes ancêtres
Ni'n Sakawajkik



Mes liens familiaux mi'kmaq sont principalement de la région 
de Pitu'pa'q (Bras d'Or lakes).  J'en ai aussi en Nouvelle-Écosse, au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve et au Québec.


L'un de mes nombreux ancêtres Autochtone est nul autre que le Grand Sagamos Mawpilu (Kji-saqmaw Maoi'napeltu) baptisé Henry Membertou le 24 juin 1610.

Ce nom est dérivé du terme Maoi
napeltu, signifiant «chef de tout» ou «chef principal» lui a été donné par les Français 
car
il était le Chef des territoires allant de Ste. Croix jusqu'à la vallée de la rivière Saint-Jean
près de l'actuelle
frontière du Maine USA et du Nouveau-Brunswick
au Canada.

Mon arbre généalogique indique un lien ancestral avec celui-ci 
de par ma généalogie paternel, 
de par la lignée paternelle et maternelle de la mère de mon père,
de par la lignée paternelle et maternelle la grand-mère de mon père 
et de par la lignée paternelle et maternelle de l'arrière grand-mère de mon père.



(Timbre émis à Poste Canada en 2007.  Concepteur:  Réjean Myette de la maison montréalaise Fugazi)






J'ai aussi comme ancêtre Jean Nicolet... 


(Jean Nicolet débarquant à la Baie des Puants par Franz Rohrbeck (1852-1919), 1910)

Malgré ma lignée ancestrale majoritairement blanche du côté de ma mère, j'ai une ancêtre Anishinaabe Nipissing 
bien connue dans l'histoire du Canada. Celle-ci se maria avec nul autre que Jean Nicolet Sieur de Belleborne, 
suivant les seuls rites des « Pays d'en haut », en l'absence de prêtre missionnaire catholique. 
Leur enfant dont je suis le desecendant fut nommée Madeleine dite Euphrosine Nicolet. 
Elle se maria avec Jean Leblanc 
le 21 novembre 1643 à Notre-Dame de Québec.

Ni'n giju' wapeg e'pitewit . Ge'itmg ta'n tliatew tan Kanata agnutmaqann. Nesagudum Anishinaabe Nipissing. 
Tqonasu'g Jean Nicolet Sieur de Belleborne aq Anishinaabe Nipissing Ikwe (E'pit). 
Segewei Madeleine dite Euphrosine Nicolet tewitpaqatg Notre-Dame Québec Keptekewiku's 21 1643.

   

Les Français ont amené relativement peu de leurs femmes en Amérique du Nord durant les premières années, ainsi l'inter mariage entre le Français et le Mi’kmaq est devenu chose commune.  La plupart des Mi’kmaq d’aujourd’hui, dont les noms de famille sont français, sont les descendants de ceux-ci.

Malgré notre nom de famille français l'analyse du mtADN (maternel) et du yADN (paternel) familial
démontre que nous sommes 
du Haplogroupe A et du Haplogroupe C3b.


L'ADNmt des premiers occupants (Indiens, Inuit) du continant américain permet  
d'identifier chez eux cinq haplogroupes distincts, A, B, C, D et X , et ceux du chromosome Y, quatre autres haplogroupes distincts, Q, Cy, P et R1a1.
Type A - Réparti sur l'ensemble du continent américain, il est constitutif du génome des populations amérindiennes issues des dernières migrations mongoloïdes, empruntant le detroit de Bering vers la dernière glaciation de Würm. Ce marqueur génétique est commun aux populations d'Asie centrale.
Type B - Localisé uniquement le long de la frange côtière de l'océan Pacifique. Il est présent sur la côte occidentale de l'Amérique du Sud, la côte sud-ouest de l'Amérique du Nord ainsi que dans la majeure partie de l'Amérique centrale. Ce marqueur génétique indiquerait une origine du sud-est asiatique, australoïde ou pacifique.
Type C - Localisé exclusivement au sud de l'Amérique du Sud. Cet haplotype C suggérerait une hypothétique migration très ancienne, provenant d'Asie centrale pendant le Pléistocène et ayant migré par l'Asie du Sud-Est avant de passer en Amérique, par le pont terrestre de la Béringie, dès le début de la dernière glaciation de Würm, vers 75 000 ans.
Type D - Localisé également au sud de l'Amérique du Sud mais également dans l'ensemble du bassin amazonien. Ce marqueur est absent en Amérique centrale ainsi qu'en Amérique du Nord... sauf chez les Inuits dans l'extrême nord de l'Amérique du Nord. 
Type X  -   Les spécialistes Brun, Hosseini, Allen, Schurr et Wallace du Centre de médecine moléculaire de l'Université de Médecine d'Emory, Atlanta, U.S.A. ; ainsi que les professeurs Torroni, Scozzari, Cruciani du Département de génétique et de biologie moléculaire de l'Université La Sapienza de Rome ; et le professeur et mathématicien Bandelt, maître de conférences à l'Université de Hambourg (Allemagne), ont proposé qu'un cinquième haplogroupe d'ADNmt (haplotype X) soit représenté parmi les lignées fondatrices des populations d'Amérique.
Parmi les Amérindiens, l'haplogroupe X semble être essentiellement limité aux groupes nordiques d'Amérindiens, y compris les Ojibwé, Dakota. Navajos, et d'autres groupes amérindiens Na-Déné d'Amérique du Nord. À la différence des autres haplogroupes, l'halogroupe X est à la fois présent en Amérique et chez les populations européennes modernes. 



L'origine du nom Béliveau

Souvent le nom d'une famille était inspirer de la région, du travail ou de l'apparance.
Selon N-E Dionne LL., D., M.D. professeur d'archéolohie de l'université Laval ce nom pourrait venir de «Balliveau» 
commune de département de Haute-Savoie, arr. de Thonon.  
Selon certains, le patronyme pourrait venir du mot «baliveau», ce petit arbre que l'on garde pour assurer la reproduction de la forêt.

Selon «Les Canadiens-Français - Origines des familles» -
Librairie Granger de Montréal et Librairie Garneau de Québec / 1914 

Tiré de «Les Canadiens-Français - Origines des familles» - Librairie Granger de Montréal et Librairie Garneau de Québec / 1914 



On retrouve aussi la même signification de Bailliveau et de Baliveau dans le Dictionnaire François et Latin paru en 1732...





(Tiré de : Dictionnaire universel françois et latin - Tome 1 -  J-F Giffart, rue S. Jacques à  Sainte Thérèfe - 1732)
Disponible sur ce site en utilisant le Troc 




(Tiré de : Dictionnaire universel françois et latin - Tome 3 -  J-F Giffart, rue S. Jacques à  Sainte Thérèfe - 1732)



 Certains peuvent croire que parce que les Autochtones portent des noms de familles d'origines française ou anglaise ils ont par le fait même des ancêtres européains. 
Ce n'est pas le cas.  La plupart se sont vu obligés à choisir un nom de famille "approuvé".

  1857 - La loi «The Gradual Civilization Acte» exige des Indiens et Métis de sexe masculin âgés de plus de 21 ans qu'ils sachent lire, écrire et parler l'anglais ou le français 
et les oblige à choisir un nom de famille approuvé par lequel ils serait légalement reconnus
.







À l'attention de Joëlle Papillon, Université McMaster, auteure de l'article - érudit - Arborescense, No 11, déc. 2021.
Selon son article, Papillon semble se baser que sur une source.

PAPILLON parle de moi!!!
Il vaut mieux qu'on parle de moi en mal que pas dutout ...surtout en prenant la peine de mentionner les adresses de mes deux sites Web. L0L

Joëlle Papillon est professeure adjointe à l'Université McMaster où elle enseigne les littératures autochtones, franco-canadiennes et québécoises.

Mais JOELLE PAPILLON base son opinion sur une seule référence, celle de "Distorted Descent" d'un professeur de l'Université de l'Alberta.
Comment peut-on affirmer quelque chose en ayant qu'une source?
Aurait-elle réussi sa maîtrise en littérature autochtone et autre se basant que sur une seule source pour chacune de ses recherches?
Pourtant elle aurait pu consulter le rapport du gouvernement fédéral "Les populations métis des provinces et territoires".
Pourtant elle aurait pu consulter les écrits du professeur Stephane Mallette de l'Université de Carleton qui dit le contraire du prof de l'Alberta.

Suffisamment bolée pour écrire un papier chez "érudit", PAPILLON devrait savoir que "Premières Nations" est un terme adopté en 1982 pour identifier exclusivement les communautés autochtones statuées (dont je ne prétend pas être).
Papillon utilise comme preuve que je ne serais pas Autochtone que parc que, selon ses mots, j'utiliserais des "stratégie douteuses" en faisant de la généalogie pour trouver des racines autochtones Ben oui! Un/une "statué"/"statuée" ne peut appartenir qu'à une nation même si ses parents sont de deux.
Mais ce n'est pas le cas des non-statués/non-statuées.
D'où PAPILLON tient-elle sa maîtrise?

J'ai plus de sang autochtone dans les veines qu'en avait feu Max Groslouis ou qu'en a Conrad Sioui.
Le généalogie de de Max Groslouis indique que le dernier couple de Huron/Huronne date d'il y a 9 générations, il est Huron par une seule lignée "masculine".
J'ai plusieurs lignées d'ascendances "mixtes" qui ne permettent pas la transmission du statut depuis la loi de 1906.
PAPILLON ne semble pas savoir que cette loi de 1906 ne permettait pas la transmission du statut par les femme, ce qui a multiplié les Métis et Indiens-non-inscrits/Indiennes-non-inscrites.
Bien sûre, elle a un maîtrise en littérature autochtone et franco-canadienne, pas en droit!

PAPILLON devrait élargir ses connaissances et peut-être ajouter une maîtrise en loi discriminatoires, loi qu'elle semble totalement ignorer...
https://publications.gc.ca/Collection-R/LoPBdP/BP/bp175-f.htm

Possédant une belle plume et sachant manipuler les écrits PAPILLON serait pourtant bien placée pour défendre les intérêts des femmes Autochtones et de leur descendants/descendantes qui sont privés du droit au statut et à sa transmission depuis la loi de 1906.
Elle dvra cependant utiliser plus d'une source, ce qui peut lui être difficile si j'en crois son papier.